Le fouteballe en émoi

La semaine dernière c’était Waterloo avec une défaite des footeux français en Ukraine dans on ne sait plus quelle compétition mondiale de fouteballe. Ce matin c’est Austerlitz avec une victoire des mêmes footeux surpayés qui leur donne accès à on ne sait plus quelle compétition mondiale de fouteballe. La politicaille franchouillarde s’empresse de parader sur les plateaux de télévisions pour se féliciter de cette victoire et faire des allusions grossières à la situation politique interne sur le thème : « quand on veut, on peut ! »

En revenant d’Ukraine il fallait les raser en place publique (ce qui vu les coupes de cheveux ridicules qu’ils arborent n’aurait pas été un mal), quatre jours après il fallait les transférer du Stade de France au Panthéon.

14 millions de téléspectateurs auraient regardé le match hier soir, ce qui permet de déduire que 51 millions ne l’ont pas regardé. Il reste encore un peu d’espoir, le pays entier n’est pas encore contaminé par ce virus pernicieux aboutissant à une dégénérescence des fonctions vitales des patients qui en sont atteint.