Sortie : 1985, Chez : . On a crié au génie quand ce premier roman d’un jeune auteur américain a été publié. Il ne faut tout de même rien exagérer ! Des phrases de trois mots, des dialogues d’onomatopées, pas d’histoire, bref, un grand vide pour narrer la vie ordinaire d’une jeunesse friquée de Los Angeles, qui dénomme ses doberman de compagnie Hanoi et Saigon et dont le seul souci est le nombre de rails de cocaïne qu’elle s’enfile en une heure ou le modèle de Porsche qu’elle demandera à ses parents pour son petit Noël. Sans parler de dérives sexuelles plus sordides. Le monde abordé est fort peu intéressant, l’absence de style littéraire n’arrange pas les choses.
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