Les Allemands toujours traumatisés par leur République de Weimar et la disparition du Deutsche Mark restent fatigués à l’idée de financer les cigales de l’Union européenne que sont les Français ou les Italiens qui n’arrivent pas à équilibrer leurs budgets depuis plus de 30 ans. Alors ils font la mauvaise tête et renâclent devant les leçons d’économie dispensées par Sarkozy. On peut les comprendre.