C’est comme la crise des subprimes, ce diabolique concept de prêter de l’argent à des acheteurs immobiliers non solvables. Avant que la crise n’éclate, nombre d’entre eux ont fait de substantielles plus-values en revendant leur maison bien plus chère qu’ils ne l’avaient achetée, comme d’ailleurs nombre de propriétaires immobiliers français qui ont estimé durant des années qu’une plus-value annuelle de 15% sur leur patrimoine immobilier était la norme. Le problème c’est pour ceux qui ont acheté un appartement début 2007 et qui veulent le revendre aujourd’hui…
La soupe a été bonne pour tout le monde, sauf quand elle a commencé à refroidir.