La démesure des barons du CAC40

Antoine Zacharias, ex-pédégé à l’égo aussi surdimensionné que ses émoluments, qui a démissionné avec fracas de chez Vinci il y a un an ou deux quand son égo justement a été attaqué sur la base des primes et bonus gigantesques qu’il se faisait octroyer (on parle de plus d’une centaine de millions), avant de vouloir faire annuler cette démission, réclamait 81 millions d’euros supplémentaires à Vinci pour préjudice. Il vient d’être débouté par la justice. On est consterné devant le manque de reconnaissance de son ex-employeur.

Comment ce pauvre garçon va-t-il s’en sortir sans ce pécule juste destiné à financer ses vieux jours après tant d’années de bons et loyaux services ?