Mitterrand Frédéric, ‘La Mauvaise Vie’.

Sortie : 2005, Chez : . Frédéric dévoile ses aventures homosexuelles, cela va de « l’adoption » de jeunes garçons nord-africains qu’il loge et dont il finance les études à Paris (« rien d’ouvertement sensuel » sic), à des passes payantes dans des bordels à jeunes hommes à Djakarta ou Bangkok (on ne connaît pas l’âge des intéressés), un retour sur ses émois adolescents et les évocations de quelques amours déçus. C’est bien écrit, nostalgique et dépourvu d’ambigüités. On se demande ce qui pousse cet homme à mettre sa « Mauvaise vie » sur la place publique ? Sans doute un fond de culpabilité, une recherche de libération, à la poursuite d’un bonheur qu’il ne semble pas avoir trouvé.

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