Berlusconi, le pervers-transalpin de 77 ans, est finalement acquitté en appel de l’affaire de mœurs qui l’impliquait avec des prostitués mineures alors qu’il était au pouvoir. Il s’agit du désormais mondialement célèbre bunga-bunga, en clair des partouzes que le dirigeant italien organisait dans ses villas. Le pervers n’est donc coupable de rien et du coup il revient au premier plan de la vie politique dans son pays malgré son âge avancé. Il reste condamné définitivement pour fraude fiscale.
Ainsi va la vie de nos démocraties : la vieille et noble Italie n’arrive pas à remiser un de ses dirigeants partouzeur et fraudeur et très âgé ! C’est triste.