« Joe Strummer, the future is unwritten » de Julian Temple

Cinéma ce soir, un hommage au prince punk qui a mené les Clash au combat. Mélanges d’images d’époque et de souvenirs des vieux amis réunis autour de feux de camp urbains

Souvenirs, souvenirs, lorsque l’on voit Joe animer les squats londoniens et monter son premier groupe The 101’ers (référence à son squat d’alors, 101 Walterton Road), ou les 4 Clash débarquer guitares en bandoulière, pour enflammer la scène rock des 70s sur London Calling et autres White Riot. Nostalgie alors que l’on découvre tout le mal qu’il a eu à dépasser la fin du Clash pour reprendre la route de la musique et fonder les The Mescaleros avant de mourir en 2003 d’une malformation cardiaque jamais diagnostiquée. Un beau film sur la bande-son d’une époque et son message d’énergie : rien n’est écrit, battez-vous !