Richelieu Finance et son patron, analyste financier mondain, sont pris les doigts dans le pot de confiture et sont obligés de se vendre pour survivre. Ledit patron, chantre du capitalisme financier et des analyses dignes d’une concierge portugaise sera sans doute désormais un peu moins présent sur les plateaux de télévision et un peu plus dans son bureau pour y gérer les risques de la vraie vie et non plus les fantasmes d’économistes de salon…
Et pendant ce temps les banques internationales sont obligées de passer des dizaines de milliards de provisions pour cette nouvelle grande escroquerie du XXIème siècle où l’on a cru que la sophistication et la complexité de produits financiers auxquels plus personne ne comprend rien, pouvaient contourner quelques basiques comme quoi un débiteur qui achète une maison au-dessus de ses moyens va avoir du mal à la rembourser.