Leur nombrilisme les fait passer par la case tribunal

Certains des émeutiers qui ont pillé des magasins parisiens n’ont pas pu s’empêcher de publier des photos leurs butins sur les réseaux dits-sociaux. Il semble que la police regarde également ces réseaux, ils ont été arrêtés à leur domicile et traduits en justice. D’autres se vantaient bruyamment dans le train retour qui les ramenait chez eux le samedi soir après leurs pillages, ils ont été dénoncés par une passagère : la police les attendait sur le quai à leur arrivée. Les fruits de leurs rapines suffisaient à les identifier plutôt facilement.

Ce besoin irrépressible de tout publier de sa vie nuit parfois à la capacité de raisonnement des utilisateurs de ces Facebook et autres Twitter. Il faut se féliciter que, pour une fois, ces réseaux permettent d’appliquer la Loi.