Encore un trader-fraudeur : un anglais aurait fait perdre 2 milliards de dollars à l’UBS, brillante banque suisse qui s’est illustrée dans les années 80 dans l’affaire de la gestion des fonds juifs en déshérence post-shoah, dans les années 2000 pour avoir été forcée par l’administration américaine à fournir des listes de milliers de contribuables US fraudeurs, et, bien sûr, en 2008 avoir échappé à la faillite post-subprime grâce à la générosité forcée des contribuables helvétiques.
Le garçon a été emprisonné et inculpé pour « abus de position et fraude comptable ». Il semble qu’il y ait encore quelques progrès à faire pour contrôler la créativité des forbans de la finance qui jouent nos économies au casino !