DSK a vu ses mesures de contrôle judiciaire allégées par suite des contradictions affichées par la plaignante. Il reste inculpé et interdit de quitter le territoire américain. La presse sérieuse explique que le DSK aurait admis une relation sexuelle consentie avec la femme de chambre et que celle-ci parle d’une relation sexuelle forcée.
Il semble donc qu’il y a eu relation sexuelle un samedi matin ordinaire à New-York entre le directeur général du Fonds monétaire international et une soubrette guinéenne, juste avant que le premier n’aille déjeuner avec sa fille. Les amis socialistes de DSK se réjouissent et clament déjà son innocence. Il apparaît que pour eux le viol d’une femme de chambre d’hôtel ce n’est pas bien, le troussage d’une domestique à l’heure de l’apéritif c’est bien.
Dans un cas comme dans l’autre, l’acte est incompatible avec les ambitions de DSK de se présenter à la présidence française. Il serait capable de déclencher le feu nucléaire pour séduire une secrétaire. Il va être intéressant d’écouter l’impétrant lorsqu’il reviendra en France s’il daigne s’expliquer devant ses fans.