Bachar El-Assad lâche quelques cacahuètes au peuple syrien, martyrisé par sa famille depuis le coup d’Etat mené par son père en 1970, en abolissant l’état d’urgence mis en place il y a presque cinquante ans dans ce pays. En principe cela ne devrait pas changer grand-chose au sort des syriens écrasé par un système mafioso-barbouzard de première catégorie. Quelle tristesse !
On ne sait pas bien si ce clan va encore rester longtemps au pouvoir à Damas mais on peut affirmer cependant que ce serait faire œuvre de salubrité publique que de mettre en œuvre une solution de remplacement au régime El-Assad qui a suffisamment trempé dans tant d’affaires louches de terrorisme international et fait ses preuves de ses méthodes de direction en Syrie comme au Liban.