Les caciques africains, Bongo, Sassou et consorts, ont eu la tête du ministre français de la coopération (Jean-Marie Bockel) qui s’était fixé comme louable objectif de signer l’avis de décès de la Françafrique, le tout agrémenté d’articles récents dans la presse française sur les fortunes parisiennes de ces dictateurs (hôtels particuliers, flottes de véhicules de luxe, etc.). D’autres avant lui s’y étaient essayés et tous avaient mordu la poussière devant les récriminations de nos chefs de bandes locaux. La rupture sur ce point est repoussée à plus tard…