Pour la première fois le Front national recrute un allié et engrange un ralliement. Nicolas Dupont-Aignan, candidat indépendant de la droite souverainiste au premier tour ayant récolté 4 ou 5% des voix, rallie l’extrême droite et se voit offrir en échange le poste de premier ministre si Marine Le Pen était élue dimanche prochain. Ce n’est pas très brillant.
Un peu découragé face à l’adversité, on a parfois envie de penser : « si les français veulent vraiment voter pour la droite extrême, eh bien soit, qu’ils l’élisent et on la verra à l’œuvre ». Mais on se reprend aussitôt en pensant à l’avenir de nos enfants.