Le désormais fameux tweet de la Trierweiler risque de suivre Hollande son quinquennat durant, tel le Fouquet’s de Sarko l’agité. La presse satyrique de la semaine continue à s’en donner à cœur joie, et ce n’est pas fini…
Et pendant ce temps le petit monde socialiste essaye de sauver la face de la Ségolène bafouée pour lui trouver un point de chute à la hauteur de l’affront qu’elle a subi, dans un festival de faux-jetonneries, tout le monde étant finalement plutôt content qu’elle ne se retrouve pas à la tête de l’assemblée nationale…