Depuis la généralisation des interventions armées aériennes occidentales ou onusiennes au Moyen-Orient on parle moins de bombardements que de « frappes ». Cette subtilité sémantique est destinée à être moins effrayante sur l’acte lui-même qui consiste, quelle que soit son appellation, à balancer une ou des bombes depuis un avion sur des cibles humaines et matérielles comme le rappelle Wikipedia :
Le bombardement (mot dérivé de bombarde) est une opération consistant à attaquer un objectif à l’aide d’éléments d’artillerie, qu’il s’agisse de boulets ou de toute variété de bombe.
Les bombardements ont généralement pour objectif la destruction des défenses ou des ressources de l’adversaire, ayant un intérêt stratégique, tactique ou psychologique. Ils peuvent être terrestres (bombardement d’artillerie), maritimes (bombardement côtier) ou aériens (lâcher de bombes par des avions).
Appelons les choses par leur nom : un bombardement est un bombardement ! La frappe devrait être réservée à la monnaie, à la machine à écrire ou aux joues des enfants mal élevés.
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