Un citoyen tunisien, délinquant islamiste tue deux jeunes femmes dans la gare de Marseille, dont l’une par égorgement. Il est abattu par une patrouille militaire. Ce terrorisme connoté de religion n’en finit pas, la France en est la cible depuis les campagnes des années 90’, trente années de bombes et d’assassinats au hasard des rues, des actions souvent menées par des citoyens français élevés à l’école de la République.
Le groupe Etat islamique a revendiqué les meurtres.
L’attaquant ne semble avoir été particulièrement en vue pour ses idées islamistes mais était plutôt connu pour des actes de délinquance ordinaire. On a un peu l’impression que désormais n’importe quel individu gérant son mal-être et ses frustrations historiques de racines emmêlées entre immigration, colonisation et dictature de son pays d’origine, cet individu, par mimétisme et volonté d’une gloire éphémère, va se lever, égorger son voisin au nom de son Dieu et mourir à son tour sous les balles d’une nation qui cherche à se défendre. Nos sociétés n’ont pas encore trouvé le mode d’emploi pour mettre fin à toute cette barbarie, hélas ! La solution n’est pas simple.