A l’occasion de sa réponse au discours de politique générale du premier ministre, la présidente du groupe parlementaire de La France Insoumise (LFI), Mathilde Panot, entre deux tirades propalestiniennes dans lesquelles elle accuse M. Lecornu de complicité avec un génocide, a révélé sa culture. Elle a cité Leonard Cohen :
There is a crack, a crack, in everything
Anthem – Leonard Cohen
That’s how the light gets in
Après avoir traduit le poème en français elle informe son interlocuteur que LFI va agrandir la brèche (the crack) « jusqu’à ce que s’écroule le vieux monde que vous incarnez… car dans chaque brèche il y a la promesse d’un matin. »
Leonard doit se retourner dans sa tombe devant une telle utilisation de sa poésie. Pardonne-lui Leonard, elle ne sait pas ce qu’elle dit !
Blabla