Sarkozy, l’agité du ciboulot en place à l’Elysées, y va de sa sortie contre les primaires socialistes les qualifiant de « non-conformes à l’esprit de la constitution de la V° République. » Et pendre ses adversaires « à un croc de boucher » est-ce conforme à la République ?
La droite panique tel un bataillon de mouches cognant sur les vitres du bocal où il est enfermé. Il faut que chacun y aille de sa déclaration inutile, de sa menace agressive, de son jugement creux sur les primaires de la gauche. Compte tenu du fait que ces élections sont un processus interne aux partis socialiste et radical, de finalement peu d’importance pour la politique française, ne serait-il plus noble pour la droite de traiter le sujet de ces primaires par le silence ? A moins bien sûr que la droite ait un programme de gouvernement à présenter à ses futurs électeurs pour les années à venir, auquel cas il serait intéressant de le mettre sur la table.