Alors qu’un repris de justice est revenu aux affaires étrangères (Juppé-le-raide-[comme un passe-lacet]-l’homme-qui-a-menti-aux-bordelais-depuis-2006-en-leur-faisant-croire-pour-être-élu-qu’il-se-consacrerait-à-100%-à-leur-ville), qu’un multi-blanchi dans différentes affaires est à la défense (Longuet, ex-créateur du GUD), un délinquant financier notoire court toujours et échappe depuis des années à la justice de la République qui a déjà condamné tous ses portes-flingues : Chirac. Défendu par un bataillon d’avocats mondains et faux-jetons, il essaye une dernière fois de se défiler des juges tout en faisant clamer qu’il souhaite être jugé pour s’expliquer. Un des avocats de la défense a sorti l’arme fatale : la question prioritaire de constitutionnalité, un truc auquel personne ne comprend rien mais qui permet de repousser de plusieurs mois le procès des emplois fictifs de la mairie de Paris dans lequel est jugé l’ancien maire-ancien président-actuel délinquant.
Il y a eu délit, la justice aurait dû passer et elle ne passera sans doute plus. Ce n’est pas bien !