Dieu merci l’Allemagne emporte le morceau chez EADS et prend les commandes d’Airbus Industrie où se posent les véritables problèmes d’organisation industrielle que les Allemands ont su de tous temps résoudre bien mieux que les Français engoncés dans des décennies d’immobilisme syndicalisé. Le Gallois qui n’a pas démérité s’occupera de la holding cela suffira à l’emmener doucement à la retraite.
Dieu merci la France s’est inclinée devant Angela qui a pu réaffirmer sa foi en une banque centrale européenne indépendante et un euro fort. Paris s’est cru autorisé un moment à donner des leçons d’économie monétaire à Berlin… on peut toujours rêver !