La gauche et la presse se gargarisent sur le rôle prééminent que joue le président Sakozy et se gaussent de la mise en retrait de ses ministres. C’est une option, notre agité du bocal est du genre chef qui se remue et ne délègue pas. On en rencontre de pareils dans les entreprises, comme il y a, à l’inverse, des chefs plus consensuels qui laissent de la place à leurs collaborateurs. C’est selon. Ce qui compte au gouvernement comme en entreprise c’est le résultat, laissons encore quelques mois à Sarkozy pour faire ses preuves.