De Mao à Friedman

Besancenot constate sur Canal+ que les Etats-Unis nationalisent certaines de leurs banques et compagnies d’assurance au moment où la France lance le processus de privatisation de La Poste. Comme à Poutine à qui l’Occident explique que le Kosovo ne n’est pas pareil que l’Ossétie, il va falloir être convaincant pour que notre facteur Mao accepte la diversité des situations… hum, hum !

Pendant ce temps, Georges Soros, grand spéculateur devant l’éternel à qui Le Monde de samedi demande s’il a des remords en tant que « père » des hedge funds, répond :

Si c’était à refaire ? Je spéculerais mieux…

Il y a encore un peu de chemin à faire pour que les divas de la finance internationale avalent leur chapeau.