Le Financial Times évalue à 92 milliards de dollars la rémunération des dirigeants divas des grandes banques américaines depuis 3 ans à comparer aux 700 milliards du plan de rachat des créances douteuses de ces mêmes banquiers au frais du contribuable américain (en attendant la participation des contribuables d’autres pays). Même si tout le monde s’entend sur le fait ne rien faire couterait encore plus cher au contribuable, on a mal à sa morale devant un tel désastre sans responsable…