DSK dont on croyait que le contrôle judiciaire (pour soupçon de proxénétisme aggravé en bande organisée) interdisait tout contact avec la presse a néanmoins donné une interview au journal britannique Guardian dans laquelle il explique qu’il pense avoir été victime d’un complot et que les affidés de Sarkozy le pistait bien avant sa célèbre relation sexuelle ancillaire inappropriée. Il explique qu’il ne soupçonne pas ses ennemis politiques d’avoir provoqué la délétère pipe du Sofitel, mais d’avoir ensuite manœuvré pour que le scandale devienne public et bloque sa candidature aux élections primaires du Parti socialiste.
C’est possible ! Quoi qu’il en soit, même si la droite française s’est rendue coupable de telles manipulations, cela semble avoir été en pure perte puisque notre droite la plus bête du monde va sans doute perdre le pouvoir suprême la semaine prochaine face au candidat de gauche à la vie sexuelle pourtant beaucoup plus normale.