Mais comment n’y a-t-on pas pensé plus tôt ? Il suffisait de nommer au gouvernement un collectif des rédactions parisiennes pour résoudre les problèmes de la France. Tous ces beaux esprits pourraient enfin faire profiter leurs concitoyens de leur immense savoir et, non seulement délivrer leurs conseils, mais surtout les confronter à la vraie vie pour voir s’ils passent la rampe de la réalité au-delà des conciliabules de rédactions et des unes agressives et racoleuses !
On pourrait d’ailleurs commencer par supprimer la niche fiscale dont bénéficient les journalistes pour assurer leur « indépendance » ?