Jérôme Béglé, journaliste à l’hebdomadaire Le Point, passant une grosse partie de son temps sur les plateaux télévisés des chaînes appartenant à l’influenceur de l’ombre, homme d’affaires, Vincent Bolloré, chroniqueur « bon client » de la bande du Café du commerce de Pascal Praud, a comparé sur son plateau la ferveur des citoyens britanniques suivant les obsèques de leur reine Elisabeth II aux « obsèques de Johnny ». Sans le vouloir, ni sans doute le savoir, ce journaliste de circonstance, a illustré jusqu’à l’absurde ce qui différencie la noblesse de la vulgarité.
Qu’une telle comparaison ait pu germer dans son esprit en dit long sur le niveau de ses analyses et l’intérêt de ses articles.