Le pape s’est mis récemment à tweeter pour tout et n’importe quoi, comme tout tweetos qui se respecte. Il bénit ses followers ou leur explique qu’il aime les crèches et autres billevesées. Est-ce que cet abaissement communiquant va lui rapporter des fidèles supplémentaires dans ses paroisses le dimanche ? C’est peu probable.
Le tweet c’est le niveau zéro de la réflexion, l’infantilisation de la parole, la glaciation des échanges. C’est sans doute la raison pour laquelle cet outil est si prisé par le monde politique : ne rien dire en 140 signes, un rêve pour nos édiles.