Platini, un nunuche de 64 ans pris la main dans le sac de petits arrangements entre copains-mafieux lorsqu’il œuvrait dans une fonction incertaine à la Fédération internationale de fouteballe (FIFA), est allé jusqu’à présenter son dossier devant la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) qui a confirmé que l’interdiction d’exercer une activité professionnelle liée au football était bien justifiée… Ah mais !!!
On se souvient que le garçon avait touché 2 millions de francs suisses (équivalents à 1,8 million d’euros) de la FIFA comme solde d’un contrat dont on ignore le montant total, et sans que l’on ait pu vraiment déterminer le travail qu’il avait délivré en échange. Mais alors qu’il ambitionnait de devenir le chef de la FIFA cette affaire était malencontreusement sortie brisant tout net les ambitions du fouteux. Pis, la FIFA prise soudain d’une frénésie de nettoyage des écuries d’Augias allât jusqu’à licencier son président, un suisse, Platini et quelques autres forbans en leur interdisant d’endosser toute fonction dirigeante dans le fouteballe pour quelques années. Il ne leur a cependant pas été demandé de rendre l’argent volé.
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Touché dans son égo, après différents recours infructueux devant la justice suisse, Platini a soumis son cas à la CEDH pour « rétablir son honneur ». Comme si cette Cour n’avait pas de sujets plus importants à traiter que l’honneur perdu d’un fouteballeur oublié mais enrichi ? A 64 ans, que Monsieur Platini prenne sa retraite et cesse d’encombrer les Cours et les médias. Il a trempé sa cuillère dans la bonne soupe des organisations multilatérales, qu’il se fasse discret désormais.
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