Catégorie : Italie

  • Démission d’un pervers de 75 ans en Italie

    Le pervers transalpin, 75 ans, lâche prise et annonce qu’il va démissionner. Rien n’est encore fait mais Berlusconi semble en bout de course, plus spécialisé en parties fines avec prostituées mineures qu’en gestion publique, en chirurgie esthétique et gominage de cheveux rares qu’en vision politique, il tombe non pas à cause des multiples scandales financiers et sexuels dans lesquels il est impliqué, mais du fait de la mauvaise situation économique de l’Italie. Messieurs les Marchés ne lui font plus confiance pour gérer le pays et, du coup, augmentent les taux d’intérêt auxquels ils prêtent à la péninsule, le parlement italien met le Berlu en minorité et comme a priori il lui reste encore un peu de clairvoyance notre homme de 75 ans va laisser la place et partir goûter les charmes de la retraite, au moins politique. C’est bien.

  • Le pervers et le téléphone

    Etonnant : des écoutes téléphoniques ordonnées par la justice italienne à l’encontre du pervers transalpin révèleraient (confirmeraient) que Berlusconi y vante ses exploits sexuels avec des gamines à peine nubiles. Indépendamment de l’aspect immoral de la situation, on se demande comment un président du conseil italien peut avoir de telles conversations sur une ligne de téléphone semble-t-il classique puisqu’elle, peut être écoutée et retranscrite. N’a-t-il pas des lignes cryptées le garçon ? Sinon on touche vraiment le fond du fond cette fois-ci.

  • L’Italie se redresse

    Le pervers transalpin, repris de justice, impliqué dans des affaires de mœurs avec des jeunes filles mineures, les pommettes biotoxées, les bas-joues liposucées, les cheveux colorés, nous avons nommé le président du conseil italien, Berlusconi, donc, connaît un revers électoral aux élections municipales de Milan, son fief de toujours. Bonne nouvelle ! L’Italie, le vieille Italie, patrie des arts et de l’esthétique serait-elle en train de se réveiller après des années de vulgarité berlusconienne ? A suivre.

  • L’Italie à la dérive

    Berlusconi sauve sa tête de vieillard paillard ! Quelle décadence ! L’Italie avait l’occasion de se débarrasser de son clown pervers, elle l’a laissé passer. On a les dirigeants que l’on mérite.

  • Pauvre Italie

    L’Italie continue à vivre à l’ombre des perversions sexuelles et des clowneries de son premier ministre Berlusconi. C’est assez incroyable le niveau de bassesse et de vulgarité que cet homme inspire. A la tête d’un gouvernement de notre vieille Europe il s’affiche avec des prostituées mineures dans des soirées fines organisées chez lui, et s’en glorifie. On n’ose pas imaginer le cynisme qui doit l’animer lorsqu’il gère les affaires de l’Etat.

    Comment l’Italie pétrie de culture et d’Histoire peut-elle s’affubler d’un tel mauvais garçon comme dirigeant ? Et comment peut-il être réélu avec autant de régularité depuis des années. On a pour habitude ici de dire que l’on a les dirigeants que l’on mérite, et là, au pays de Casanova, on ne saurait mieux dire. Berlusconi ferait passer Sarkozy pour un garçon cultivé et bien élevé mais le peuple italien ne semble pas choqué par ses comportements et vantardises, et la cote de popularité reste au firmament. De blagues sexistes en nominations de pinups à des postes politiques, en passant par les télévisions trash propriété de l’impétrant, l’Italie poursuit sa route vers le néant. La décadence de nos anciennes puissances continentales ne connaît plus de limite… Jusqu’où irons-nous ?

  • Le clown de Rome

    Berlusconi, premier ministre italien, perd deux dents après avoir reçu un projectile sur la figure au cours d’une cérémonie de serrage de mains de militants. L’acte est le fait d’un déséquilibré et ce n’est pas bien pour la démocratie. Mais tout le monde rigole car Berlu a élevé sa fonction au rang de clownerie de première catégorie alors on imagine une nouvelle facétie en voyant son nez rouge de sang.

  • Décès boursier

    Le cours de bourse de PININFARINA a bondi de 10% après l’annonce du décès accidentel de son pédégé, petit-fils du fondateur. Le marché, toujours subtil et délicat, fête ainsi la perspective de rachat pur et simple du designer automobile par des investisseurs prêts à le payer au prix fort. On connaissait déjà les licenciements boursiers, va-t-on, en venir aux décès boursiers ?

  • Retour de Berlusconi au pouvoir en Italie

    Berlusconi revient au pouvoir en Italie. Le clown vieilli reprend les commandes de la péninsule en changeant le nom de son parti comme à chaque élection, c’est maintenant Le Peuple de la Liberté. A quel niveau de décadence sont arrivées nos démocraties européennes pour se reconnaître de tels chefs ? On peut craindre plus simplement n’avoir que les dirigeants que l’on mérite, à Rome comme à Paris.